25 juin 2009
Et tu r'vois Natalie Wood, Natalie Woo-oo-ood...
Amis mélomanes, bonjour !
Par "mélomanes", j'entends désigner, bien sûr, les amateurs de bonne musique que vous êtes tous à n'en pas douter (faut le dire vite :-) ), mais aussi les amoureux du mélodrame, ceux qui ont versé leur petite larme quand la maman de Bambi a été tuée par les chasseurs... Réjouissez-vous, le magnifique film d'Elia Kazan "La fièvre dans le sang" (en VO, "Splendor in the Grass", c'est-à-dire "splendeur dans l'herbe", effectivement pas très vendeur) va vous faire pleurer dans vos chaumières ! Et ce largement grâce à la sublime comédienne Natalie Wood qui me colle des frissons partout à chaque fois que je la vois dans la scène de la baignoire : "Spoiled ? I'm not spoiled !" (à côté, la douche de "Psychose", c'est du jus de chaussette).
Quant au titre américain de ce chef d'oeuvre, il est extrait 'd'une ode de William Wordsworth intitulée "Intimations of immortality from recollections of early childhood". Si je vous dis ça, c'est parce que le poème en question joue un rôle important dans le film pour le personnage de Natalie Wood, et aussi parce que j'aime bien faire mon intéressante (et puis j'adore prononcer "Wordsworth" avec mon accent à couper à la scie à métaux, essayez, c'est rigolo)
Sinon, comme en fait j'y connais rien à la littérature anglaise et un peu plus à la variété française, "Natalie Wood" est aussi une chanson sympa de Jill Caplan (comptez pas sur moi et mes talents d'informaticienne pour vous mettre un lien, ce serait trop facile !), Jill Caplan qui, je le précise pour le cas où Nez-Rouge la bien nommée viendrait à passer par ici, n'est pas encore morte et n'est pas de la génération de Charles Trénet ! Non mais
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